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Germaine Richier

Biographie Germaine Richier


"J’aime la vie, j’aime ce qui bouge, je ne cherche pas à reproduire un mouvement. Je cherche plutôt à y faire penser. Mes statues doivent donner à la fois l’impression qu’elles sont immobiles et qu’elles vont remuer". Germaine Richier

Germaine Richier, femme sculpteur française, naît en 1904 à Grans. Elle décède le 31 juillet 1959 à Montpellier.

Germaine Richier
Germaine Richier - "Le grand homme de la nuit" (1954/5) - sculpturepark KMM/Pays-Bas - photo Gerardus

Germaine Richier entre tout d'abord à l’Ecole des Beaux Arts de Montpellier puis devient l'élève d'Antoine Bourdelle à son arrivée à Paris. Elle fait sa première exposition personnelle en 1934 et obtient en 1936 le Prix Blumenthal pour la sculpture. De 1939 à 1946, elle s’exile en Suisse et prend des élèves dans son atelier. Elle expose en 1944 à la Kunsthalle de Bâle avec Marino Marini.

L’oeuvre de Germaine Richier est marquée par un contraste entre les premières sculptures, à l’aspect lisse, et celles qui résultent du traumatisme de la guerre, et nous mettent face à la destruction du monde - humain, animal et végétal -. "L’homme qui marche" (1945) est un hommage à la survie de l’humanité, et marque un tournant dans son oeuvre. Son "Don Quichotte" (1949) semble revenir d’un cauchemar, ses hommes se transforment en "Mante", "Chauve-souris", ou "Ouragan". Habitée par un désespoir cosmique, son oeuvre expressionniste est un cri violent.

En 1948, Germaine Richier expose à la galerie Maeght de Paris, à Amsterdam et à la Biennale de Venise. En 1950, sa sculpture, très contestée, le "Christ crucifié", est mise en place dans l’église du Plateau d’Assy. En 1956, une grande rétrospective lui est consacrée au Musée National d’Art Moderne de Paris. Au moment où son oeuvre connaît une reconnaissance mondiale, elle meurt brutalement. En 1963, le Musée de Darmstadt la choisit avec Giacometti pour son exposition "La peur dans la sculpture française".



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