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Jean-Pierre Lupi

Biographie Jean-Pierre Lupi




Le photographe français Jean-Pierre Lupi naît le 17 avril 1948 à Arles.

Les grands-parents paternels et maternels de Jean-Pierre Lupi fuient le fascisme et quittent leur Toscane natale pour la Provence (Arles), et la Camargue (Salin de Giraud). Jean-Pierre Lupi passe son enfance dans les rues du quartier de la Cavalerie, niché à deux pas des arènes et du Rhône. Issu d’une famille modeste, aîné de trois enfants, il se tourne rapidement vers le sport et pratique l’athlétisme au Cercle Olympique Arlésien, le Rugby à l’Union sportive cheminote arlésienne XV (USCA XV), le football à l’AC Arles avant de co-fonder le CO Arles (Handball), discipline qui lui ouvre les portes du journalisme sportif. Plus tard il se lance un nouveau défi, celui de courir un Marathon (42,195 km), ce qu'il fait à Venise en 1992 (3h50’).

Passionné de journalisme et de photo, Jean-Pierre Lupi débute au Journal La Marseillaise. 17 ans après il entre au Provençal en qualité de responsable de la page sports de l’agence d’Arles tout en assurant les correspondances de nombreux journaux sportifs comme l’Equipe, France Football, Midi Libre, La Dépêche du Midi, Ouest-France, l’Est Républicain, le Dauphiné Libéré ou encore Nice Matin et Var Matin. Jean-Pierre Lupi achève sa carrière journalistique en qualité de responsable du bureau de Tarascon du journal La Provence de 2001 à 2008.

Aujourd’hui il se consacre à sa grande passion pour la photographie tout en animant le site Internet de l’AC Arles-Avignon.



Expositions Jean-Pierre Lupi (sélection)




  • 2010 : Jean-Pierre Lupi, "Couleurs de sel" - Cloître des Cordeliers, Tarascon

    "Couleurs de sel" est plus qu’une exposition pour Jean-Pierre Lupi, c’est un retour sur son enfance, à Salin de Giraud, ou il passera tous les Etés dans cette "capitale du sel" dans la maison de ses grands-parents paternels, à deux pas de l’usine Péchiney où travaillaient son père, son grand-père et ses oncles. Il garde en mémoire ses sorties à la colonie de la mer des Salins du Midi, avec ce car sillonnant ces vastes étendues blanches, où se mêlaient, au gré du temps, de multiples couleurs. Le rouge orangé d’une eau emplie de cette bactérie chargée en carotène se faufilant à travers les petits canaux bordés d’une épaisse couche de sel où, sous les rayons de soleil, étincelaient de mille feux les cristaux. Les retenues d’eau, rouge écarlate, nichées en plein coeur des marais salants. La couleur brune du sable résistant aux assauts du sel ; le bleu profond de l’azur où se glissaient des nuages blancs, au gré du vent.

    Des couleurs vives, douces, pastel, engendrées par l’eau, le soleil, le vent et surtout par la présence de cette bactérie, la Punaliena Salina, dont se nourrissent les flamants, et qui se marient à merveille avec l’espace, la végétation et les graciles flamants roses. Un univers encore sauvage, ou les piquets de fer rouillés, les pieux de bois plantés, jouent les sentinelles résistantes, figées entre sel et eau, sable et soleil. Gardiens immobiles et silencieux de ce lieu saint, où le silence est seulement brisé ponctuellement par le cri des mouettes et celui des flamants roses qui s’élancent dans le ciel. C’est cet univers, d’une grande beauté naturelle et sauvage, faits de multiples couleurs, que Jean-Pierre Lupi a souhaité fixer à travers son objectif. Un long travail de deux ans, fait de patience, d’observation, de réflexion et d’attente, pour jouer avec le vent, le soleil et les couleurs. S’avancer au plus près, s’enfoncer les pieds dans la glaise aussi noire que le sel est blanc, pour trouver le bon angle, observer les reflets sur l’eau, les cristaux de sel pour en donner une vision souvent abstraite qui vous transporte dans un autre monde : celui de l’imaginaire.

    Entre réalité et abstrait, le photographe, transmet sa sensibilité au travers de ses photos dont les noms incitent à l’évasion vers l’imaginaire dans le sillage de cette libellule figée dans le sel tel un Ange.

    L’exposition se compose de photos, non retouchées et non travaillées en laboratoire, tirées sur papier Tétéral Perlé 290 grammes, tirées avec un traceur Epson 7880, montées sur un laminage de 15mm en format : 30x30, 30x45, 30x60, 50x92, 60x100 et 100x170. C’est une exposition 100% bio dans la mesure où les couleurs sont issues de la saturation plus ou moins importante de la bactérie Punaliena Salina qui engendre tout une gamme de couleurs du rouge orangé profond au bleu, en passant par le vert et le rose.



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    Galerie d'art contemporain
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