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Paul Cox

Biographie Paul Cox


L'artiste français Paul Cox naît à Paris en 1959.

Après des études d’histoire de l’art et de littérature anglaise, il obtient son agrégation puis arrête très vite d’enseigner, préférant faire, parallèlement à la peinture, des livres pour les enfants, des affiches, des illustrations de presse ou des logos.

Son intérêt grandissant pour les constructivistes et autres avant-gardes "qui faisaient de l’art à côté" l’encourage à poursuivre dans cette voie pluridisciplinaire. Il travaille aussi pour la scène, édite des jeux et se passionne pour toutes les techniques d’impression.

Paul Cox entreprend la publication périodique de l’ensemble de son travail (peinture, travaux graphiques...) sous forme de livre, dont le premier tome, "Coxcodex 1", paraît en 2004 aux éditions du Seuil.



Expositions Paul Cox (sélection)


  • 2007 : Trois expositions interactives de Paul Cox - Centre Culturel, Centre de Création pour l’Enfance, Tinqueux

    Paul Cox affectionne les modules, les briques, tout ce qui permet de construire par accumulation et prolifération. Il aime aussi la contrainte qu’impose l’utilisation d’un vocabulaire limité. Ce double intérêt est manifeste dans les trois installations proposées, qui, bien que conçues à des moments et dans des lieux différents, sont ici à parcourir comme un ensemble, comme une suite logique, un laboratoire dans lequel les visiteurs sont invités à expérimenter ces notions, si chères à l’artiste, de construction, d’interactivité, de modularité mais aussi de territoire, et ce, toujours en s’amusant.

  • JEU DE CONSTRUCTION

    Créé en 2005 à l’Atelier des enfants du Centre Pompidou, cette exposition est conçue comme un immense jeu. De vastes tables en bois peint et aux contours ondulants, montées sur une forêt de tréteaux, supportent des milliers de petits blocs de bois et de mousses colorées que le visiteur, grand ou petit, est invité à manipuler pour construire édifices, routes, ville et ponts. Là où les tables sont trop grandes pour atteindre leur centre à bout de bras, la manipulation des modules se fait à l’aide de longues raclettes ou de pinces de préhension, le paysage évoluant, au gré des constructeurs, entre rigueur "d’Architectones" et désordre de chambre d’enfants.

  • TOBOGGAN

    D’immenses toboggans de bois parcourent le lieu. Leurs trajets enchevêtrés déploient leurs circonvolutions en un joyeux chaos juché sur une forêt d’étais et de contreventements. Des dizaines de petits véhicules dévalent leurs pentes, chargés de messages choisis par les visiteurs : un abondant matériel leur permet d’habiller les voitures à leur guise : lettres, mots, images, objets, petites caméras et transistors... Tout apport personnel est aussi bienvenu. Chacun choisit son ou ses parcours, pour suivre les véhicules dans leur trajet complexe ; à travers les différents espaces . La rencontre fortuite des voitures au hasard de leurs routes entremêlées crée un spectacle sans cesse changeant.

    L’installation de Paul Cox donne une nouvelle lisibilité aux espaces. Elle en permet un parcours exhaustif grâce à ses méandres qui n’en laissent aucun recoin inexploré. On peut se plaire à y voir une évocation facétieuse de Sisyphe, d’un éternel recommencement qui oblige à nourrir sans cesse la machine en remontant les petites voitures à son sommet. "Rien n’est jamais acquis" pourrait être la morale de cette fable tri-dimensionnelle. On songe à un bricoleur qui aurait transposé sur le mode ludique le concept d’entropie cher à Robert Smithson.

  • PICTURE ELEMENTS

    Des milliers de carrés de plastique colorés de 20 x 20cm sont posés au sol sur une aire de jeu dont le quadrillage invite les visiteurs à y disposer les modules comme autant de pixels agrandis pour créer une immense image.

    Une plateforme installée à côté de l’aire permet d’avoir une vue globale de l’oeuvre réalisée. Un appareil photo et une imprimante permettent au visiteur-participant de conserver la trace de sa réalisation et d’en exposer le tirage sur un mur qui gardera le témoignage des états successifs de l’exposition. Grâce à ce dispositif, le travail de composition et construction d’une image au sol, pourra également être le support d’un travail multimédia et notamment de réalisation de petits films en image par image. Cette interactivité simple rappelle celle du "Jeu de Construction", et semble, comme lui, une application littérale de l’assertion duchampienne: "c’est le regardeur qui fait le tableau".



    Paul Cox : les liens


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