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Basquiat

Musée d’Art moderne de la Ville de Paris

Exposition du 15 octobre 2010 - 30 janvier 2011




Jean-Michel Basquiat
Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat et Francesco Clemente, New York - 1984 - Courtesy Galerie Bruno Bischofberger, Zurich - Photo : © Beth Philipps

Cette vaste rétrospective, organisée à l’occasion du 50e anniversaire de la naissance de Jean Michel Basquiat, est la première de cette envergure à être présentée en France.

D’origine portoricaine et haïtienne, né en 1960 à Brooklyn et mort par overdose à 27 ans dans la même ville, Jean-Michel Basquiat appartient à la génération des graffiteurs qui a brusquement émergé à New York à la fin des années 1970.

En 1977, Basquiat commence à signer ses graffitis du nom de SAMO (pour «Same Old Shit») accompagné d’une couronne et du sigle du copyright. Au cours de sa fulgurante carrière, sa peinture passe de la rue au tableau. Son univers mélange les mythologies sacrées du vaudou et de la Bible en même temps que la bande dessinée, la publicité et les médias, les héros afro-américains de la musique et de la boxe, et l’affirmation de sa négritude.

Il définit ainsi une contre-culture urbaine, underground, violente et anarchique, pétrie de liberté et de vitalité. En 1982, Basquiat est invité à participer à la Documenta 7 de Kassel en Allemagne. L’année suivante, il est le plus jeune et premier artiste noir à exposer à la Biennale du Whitney Museum of American Art à New York.

À partir de 1984, il réalise en commun des peintures avec Andy Warhol jusqu’à la mort de ce dernier en 1987.


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S’étant toujours défini comme un peintre influencé par son environnement urbain quotidien, les racines de sa pratique «expressionniste primitiviste» sont à trouver du côté d’une peinture européenne d’après-guerre, celle de Jean Dubuffet, réfractaire à l’«asphyxiante culture» ou celle de Cobra, ainsi que du côté de la grande tradition américaine de Robert Rauschenberg à Cy Twombly. Après sa mort prématurée en 1988, il laisse une œuvre considérable habitée par la mort, le racisme et sa propre destinée. Sa vie brûlante et explosive, mêlant le star-système et la révolte, a inspiré en 1996 le film « Basquiat » du peintre et cinéaste Julian Schnabel.

En 1984, le musée d’Art moderne de la Ville de Paris avait déjà présenté Jean-Michel Basquiat dans une exposition collective consacrée au mouvement de la Figuration Libre France/USA, aux côtés de Robert Combas, Hervé Di Rosa, Keith Haring.







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